Lorsque Pheobe Buffay a sorti sa célèbre phrase « I could totally spread him on a toast », elle ne se doutait probablement pas qu’elle venait de créer un mythe :
celui d’étaler un individu de sexe mâle sur un support alimentaire.

C’est plutôt sympa, convivial, et y’a peu de vaisselle à faire après.

Qui plus est, suivant l’endroit où tu vis/fais ton erasmus, t’as une variété de choix incroyable…pancakes, pain nan, crêpe, bretzel, tortillas, shortbread, bagel, chips aux crevettes… laisse parler ton imagination  !

Perso, je l’étalerais bien sur un scone.
(trempé dans un café au caramel du hall du bâtiment L  en écoutant « les pétunias d’amsterdam » )
 

Attention, à consommer avec modération, l’abus peut être dangereux pour la santé mentale, récurrence d’effets secondaires non désirés…
-ca peut t’amener à un débat sur le nombre de bières nécessaires à l’individu mâle moyen pour se laisser violer sauvagement
-ca peut t’amener à vouloir apprendre le hongrois, langue  ô combien barbaresque
-ca peut t’amener à avoir des envies de meurtres de sri-lankaises
-ca peut t’amener à chercher ton prof de TD sur facebook
-ca peut t’amener à te mettre en couple avec ta frange
-ca peut t’amener à inventer des théories merdiques à propos des hommes
-ca peut t’amener à mimer un burin
-ca peut t’amener à avoir le moral qui joue aux montagnes russes
-ca peut t’amener à des envies irrépressibles de choux-fleurs trempés dans de la sauce au yaourt

 

Parce qu’entre l’escalade de montagnes, les soirées au pub, les cours à l’ucc, les sessions sport à Mardyke Arena, je trouve quand même le temps de troquer Ludwig contre Skype/Gmail et la pâte de speculoos contre de la Ben & Jerry ‘s pour faire des brainstormings sur l’état de nos myocardes endiablés.

 

Parce qu’apparemment, tout autour du globe, le délire à l’opium des rennaises continue…

Et c’est pas prêt de s’arrêter !